Perte de cheveux sous Androgel

Kafeijq
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Quand tu dis que c'est un problème neuro, tu veux dire ? Tu n'arrives plus à bander ou tu n'arrives plus à ressentir le plaisir avec ton sexe ?
Pour la première situation comme je te l'ai dit, il y a des solutions. Pour l'autre, un avis spécialiste s'impose.

Au Québec je ne sais pas exactement comment cela fonctionne. Je sais qu'aux US, c'est un peu le libéralisme à fond coté médical, donc tu peux rencontrer qui tu veux tant que tu as de la thune. En France tu peux aussi mais si tu n'es pas orienté d'abord par un généraliste tu auras une consultation à prix plus élevée (pour éviter que n'importe qui se rue chez le spécialiste pour le moindre truc).

Ta situation est compliquée. Même toi j'ai l'impression que tu ne sais pas où tu en es. Ta testo est basse, et tu te supplémentes en testo mais tu es convaincu que ce n'est pas ta carence en testo qui est à l'origine de tes troubles sexuels. Alors pourquoi tu prends de la testo ?
Personnellement, je te conseillerai de continuer car une carence en testo ça contribue à avoir des troubles sexuels.

Les problèmes que tu décris semblent quand même nettement plus important que ta chute de cheveux. La calvitie c'est chiant, mais il faut se raisonner un petit peu aussi, c'est pas la fin du monde. Concentre toi sur tes problèmes plus important et osef du nombre de cheveux qu'il te reste, les gens (hommes et femmes) s'en foutent complètement, donc relativise.
michel sapin a écrit :ton taux de testosterone est déterminé par ta génétique . Et aucun produit "naturel" ne pourra te l'augmenter. C'est comme les produits naturels pour la calvitie ,cela ne marche pas .
Mouais non. La génétique joue un rôle mais l'environnement aussi, surtout niveau hormonal. La testostérone chez un mec qui fait de la musculation régulièrement et qui ne se touche pas tous les jours sera plus élevée que chez son jumeau qui ne fait jamais de sport et qui se touche toutes les 6h
willy31
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Salut Jean-Luc, merci de participer à la conversation,

À propos des médicaments qui induisent le PSSD (Post SSRI Sexual Dysfunction) et autres effets secondaires:

Beaucoup de gens, y compris des professionnels de la santé; En fait, la plupart des gens, je suppose, opèrent à partir du paradigme ou de la manière de penser la plus erronée à propos de ces médicaments. Ils les pensent comme de l'aspirine - comme quelque chose qui a un effet quand il est dans votre système, et quand il sort de votre système l'effet disparaît.

Ce n'est pas ce qui se passe avec les médicaments qui modifient la fonction des neurotransmetteurs. Lorsqu'on modifie la chimie du cerveau, le cerveau ajuste sa chimie et sa structure pour essayer de revenir à l'homéostasie, ou l'équilibre biochimique et fonctionnel. Il tente de re-stabiliser la chimie. Par exemple: les antidépresseurs ISRS agissent comme "inhibiteurs de la recapture de la sérotonine". C'est à dire que la sérotonine reste dans l'espace entre les neurones, plutôt que d'être réintroduite dans les cellules pour être réutilisée, comme ce serait le cas dans un cerveau normal non dérangé. Ainsi, le cerveau, qui veut rétablir une signalisation et une fonction normales, s'adapte au niveau plus élevé de sérotonine entre les neurones (dans la "synapse", l'espace entre les neurones où les signaux sont transmis).

Pour ce faire, il élimine les récepteurs de la sérotonine, ce qui réduit le signal et le ramène à quelque chose de plus normal. Il diminue également la quantité de sérotonine produite dans son ensemble. Pour ce faire, les gènes doivent être activés et désactivés; de nouvelles protéines doivent être fabriquées; il faut changer les cascades entières de réactions chimiques, ce qui signifie activer et désactiver les autres gènes; les cellules sont détruites, de nouvelles cellules sont fabriquées; en d'autres termes, un remodelage physiologique complexe a lieu. Cela se passe avec le temps. Le cerveau ne grandit pas et ne change pas rapidement. Il s’agit d’une vaste simplification excessive de la quantité d’adaptation qui a lieu dans le cerveau lorsque nous changeons sa chimie normale, mais c’est le principe.

Lorsque nous cessons de prendre le médicament, nous avons un cerveau qui s’est conçu pour fonctionner en présence du médicament; maintenant, le cerveau ne fonctionne plus correctement sans le médicament, car il est conçu pour que le médicament fasse partie de sa chimie et de sa structure. C'est comme une plante qui a poussé sur un treillis; Vous ne pouvez pas simplement sortir le treillis et vous attendre à ce que la plante pousse correctement. Lorsque le médicament est retiré, le processus de remodelage doit avoir lieu en sens inverse. Donc, il ne suffit pas de sortir le médicament de votre système et de passer à autre chose. Si c'était si simple, ceux qui sont ici, à cause d'effets secondaires de médicaments, ne serait pas là. Il s'agit de devoir développer un nouveau cerveau. Je crois que ce nouveau cerveau se produit tout au long du processus de conicité, temps de récupération après que nous sommes complètement hors du médicament, ce qui explique pourquoi la récupération prend si longtemps. (Si c'est trop rapide, alors il n'y a pas beaucoup de temps pour rééquilibrer les choses, et le cerveau ne fait que pédaler rapidement pour essayer de nous maintenir en vie.)

Avec de multiples médicaments et des antécédents de changements de médicaments, tout cela devient encore plus compliqué. Et si une personne commence à prendre ce genre de médicaments à un âge précoce, avant que le cerveau n’ait jamais complètement établi son fonctionnement normal, cela n'est pas une bonne chose.

Sortir les médicaments de notre système n'est pas le problème; le problème est que l'on doit remodeler notre cerveau ou d'attendre qu'il se remodèle lui-même. C'est un processus long, lent, très mal compris et qui doit être respecté.

CEPENDANT: Je crois que nous surestimons la capacité du cerveau à faire un bon homéostasie (il n'a pas été créé pour construire une nouvelle homéostasie, il n'a pas les outils), le cerveau peut penser qu'une mauvaise homéostasie est acceptable; à un moment donné, les améliorations semblent se stabiliser, malgré que tout ne soit pas réparé, ou je dirai mieux, parfois mal réparé. Et nous n’avons qu’une seule solution: attendre que ce cerveau comprenne qu’il y a du travail qu’il n’a pas bien fait.

Et mis à part le temps, est-il possible de forcer les choses?
willy31
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Kafeijq a écrit :Quand tu dis que c'est un problème neuro, tu veux dire ? Tu n'arrives plus à bander ou tu n'arrives plus à ressentir le plaisir avec ton sexe ?
Pour la première situation comme je te l'ai dit, il y a des solutions. Pour l'autre, un avis spécialiste s'impose.

Au Québec je ne sais pas exactement comment cela fonctionne. Je sais qu'aux US, c'est un peu le libéralisme à fond coté médical, donc tu peux rencontrer qui tu veux tant que tu as de la thune. En France tu peux aussi mais si tu n'es pas orienté d'abord par un généraliste tu auras une consultation à prix plus élevée (pour éviter que n'importe qui se rue chez le spécialiste pour le moindre truc).

Ta situation est compliquée. Même toi j'ai l'impression que tu ne sais pas où tu en es. Ta testo est basse, et tu te supplémentes en testo mais tu es convaincu que ce n'est pas ta carence en testo qui est à l'origine de tes troubles sexuels. Alors pourquoi tu prends de la testo ?
Personnellement, je te conseillerai de continuer car une carence en testo ça contribue à avoir des troubles sexuels.
Voici tout ce que j'ai pris:
-Prozac 40mg (2006 à 2014)
-Risperidone 1,75mg (1999 à 2014)
-Concerta 90mg (1999 à 2014)
-Minocycline 50mg (2012 à 2013)
-Finasteride 0,25mg (2014 à 2016)
-Minoxidil 5% (2014 à 2017)

Voici tous mes symptômes:
-Diminution de la libido
-Difficulté à initier et à maintenir une érection (j'ai seulement des demi-érections, jamais plus que ça et je dois le faire manuellement et être très concentré)
-Retard d'orgasme
-Réduction de plaisir lors de l'orgasme
-Baisse de la sensibilité du pénis
-Perte de la réponse à une stimulation sexuelle
-Réduction du volume du sperme éjaculé
-Plus aucune érection spontanées (que ce soit le jour, le matin ou pendant mon sommeil)
-Atrophie du pénis

Aussi:
-J'ai été circoncis en 2010. On m'a aussi enlevé un anneau fibreux lors de la même opération.
-J'ai une maladie de peau sur le pénis (Psoriasis ou Eczéma).

Voici tout ce que j'ai essayé jusqu'à maintenant:
-Meilleure alimentation
-Cialis 20mg
-Viagra 100mg
***Rien n'a fonctionné***

Le signal ne se fait plus de mon cerveau à mon pénis. Ma prise excessive de poids de 2006 à 2014 était aussi due à un problème neurologique causé par les médocs.

"Si la dopamine par l’activation des récepteurs D1/2, la noradrénaline par le contrôle du système nerveux autonome facilite le désir sexuel, l’augmentation de la transmission sérotoninergique l’inhibe via l’activation des récepteurs 5-HT1B/2A/2C. Enfin, parmi les causes responsables de la prise de poids sous antidépresseur, là encore, la neurotransmission monoaminergique y joue un rôle important. Le blocage des récepteurs sérotoninergiques 5-HT2C et histaminergique H1 est directement responsable de la prise de poids."

Mais c'est beaucoup plus complexe que ça. C'est une myriade de problèmes. Dès que j'essaie de faire de quoi, ça vient "fucker" quelque chose d'autre. Alors, je n'ose plus toucher à rien.

Bien sûr qu'il faut que ma testo remonte! Mais c'est un problème parmi tant d'autres. Ça relève du domaine hormonal. Même si je trouve un moyen de la remonter, je vais encore être pris avec les problèmes neurologiques. Le signal de mon cerveau à mon pénis ne se fera toujours pas. Donc, j'aurai encore tous les mêmes symptômes.

Je n'ai pas pris ma testo aujourd'hui. J'arrête le traitement. Trop peur de me créer de nouveaux problèmes. C'est plus pour les vieux de 50 ans et plus dont la testo baisse naturellement et qui n'ont pas de problèmes prostatiques à l'horizon. J'y tiens mordicus, je suis sûr qu'il existe un traitement par voie orale "naturel", certes moins efficace que Androgel, mais ô combien plus sécuritaire.

Ce qui m'horripile le plus, ce n'est pas que mes problèmes se résolves d'eux-mêmes au bout de 20 ans (ou pas), c'est vraiment mon atrophie du pénis. Et les opérations chirurgicales ne pourrons m'aider ou me satisfaire. Ils ne font que prendre la graisse dans l'abdomen et ils la réinjectent dans le pénis, et ce n'est même pas certain que la graisse va tenir le coup. Et même lorsque ça tient, il faut y retourner souvent puisque la graisse finit indubitablement par foutre le camp. Aussi, il y a la chirurgie où le chirurgien effectue une petite incision à la base de la verge afin de permettre une avancée du pénis de quelques centimètres en avant. Si l'incision est mal faite, les dommages peuvent être catastrophiques et irréversibles.

Tout ce que je veux, c'est ravoir les capacités sexuelles que j'avais avant, ou du moins, un niveau acceptable. Mais si mon pénis demeure atrophié, ça n'en vaut même pas la peine!

Qu'en pensez-vous? Croyez-vous que si mes problèmes de dysfonctions sexuelles se régleraient, que mon pénis reprendrait sa taille normale ou que l'atrophie est irréversible? Sur le corps humain, il n'y a pas que le pénis qui peut s'atrophier. D'autres organes peuvent être sujettes à l'atrophie. Dans les autres cas, cela peut-il être irréversible. L'atrophie de la verge est-elle différente des autres types d'atrophie et que, même si l'atrophie des autres organes peut être réversible, celle de la verge ne l'est pas nécessairement?

J'aimerais vraiment avoir l'heure juste sur cette question.
Imperium69
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Bon je vais être un peu dur, mais tu as surtout l'air d'être un pur hypocondriaque. Et je ne dis pas ça à la légère. J'ai vécu avec une hypo pathologique, et tu présentes vraiment les mêmes caractéristiques (faciles à voir puisque tu écris des pavés), à savoir : description encyclopédique de tes "symptômes", médecin qui refuse de t'accompagner dans ton délire, prise et recherche abusive de traitements médicamenteux, poursuite de résultats dans l'urgence et à tout prix, examens multiples et attention exagérée sur des petites carences.
Remets toi en question mon vieux, mais vraiment.
Je me rappelle avoir déjà lu quelques topics complètement alarmistes de ta part, ou tu ne parlais plus que d'un duvet sur ton crâne, et d'une calvitie totale imminente, et maintenant tu as assez de cheveux pour "encadrer" ton visage...

Je ne minimise pas ton mal-être attention, mais il est à mon sens complètement psychologique... Atrophie du pénis ? Non mais combien tu as lu de topic sur des forums obscurs pour en arriver là ?

Va voir un psy, fais du sport, libère toi la tête. Ton couplet sur pourquoi tu ne fais pas de natation, sérieux c'est juste une excuse moisie (on s'en fout du physique tout le monde à l'air con avec un bonnet sur la tête et des lunettes). Libère toi l'esprit de tout ça parce que franchement, ton pénis a l'air d'être ta seule préoccupation mais déjà vu comment tu te décris, je te vois même pas avoir la confiance de gérer une femme, alors franchement... Comprends qu'il n'est qu'une conséquence de ce qui est probablement une hypocondrie aigue doublée d'une dysmorphophobie.

Encore une fois je peux me tromper... mais envisage au moins cette piste.
Kafeijq
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Imperium69 a écrit :Bon je vais être un peu dur, mais tu as surtout l'air d'être un pur hypocondriaque.
Pur hypocondriaque c'est fort quand même.
Pour avoir expérimenté les ES de fina même après l'arrêt, cela peut vraiment être terrifiant...
Cependant, tu as un gros soucis de priorité. La calvitie ne doit pas devenir ta priorité alors que tu es en dépression, que tu es en surpoids et que tu as des troubles sexuels.

Ok, je n'avais pas saisi que tes troubles sexuels étaient du aux antidépresseurs. Effectivement, c'est un cas particulier peu connu des non psychiatres et qui ne peut être résolu par les mêmes méthodes.
Pas le choix, il faut que tu contactes un spécialiste du sujet (mais à mon avis il ne sont pas nombreux... :cry: ).
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Vikini
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Imperium69 a écrit :Bon je vais être un peu dur, mais tu as surtout l'air d'être un pur hypocondriaque. Et je ne dis pas ça à la légère. J'ai vécu avec une hypo pathologique, et tu présentes vraiment les mêmes caractéristiques (faciles à voir puisque tu écris des pavés), à savoir : description encyclopédique de tes "symptômes", médecin qui refuse de t'accompagner dans ton délire, prise et recherche abusive de traitements médicamenteux, poursuite de résultats dans l'urgence et à tout prix, examens multiples et attention exagérée sur des petites carences.
Remets toi en question mon vieux, mais vraiment.
Je me rappelle avoir déjà lu quelques topics complètement alarmistes de ta part, ou tu ne parlais plus que d'un duvet sur ton crâne, et d'une calvitie totale imminente, et maintenant tu as assez de cheveux pour "encadrer" ton visage...

Je ne minimise pas ton mal-être attention, mais il est à mon sens complètement psychologique... Atrophie du pénis ? Non mais combien tu as lu de topic sur des forums obscurs pour en arriver là ?

Va voir un psy, fais du sport, libère toi la tête. Ton couplet sur pourquoi tu ne fais pas de natation, sérieux c'est juste une excuse moisie (on s'en fout du physique tout le monde à l'air con avec un bonnet sur la tête et des lunettes). Libère toi l'esprit de tout ça parce que franchement, ton pénis a l'air d'être ta seule préoccupation mais déjà vu comment tu te décris, je te vois même pas avoir la confiance de gérer une femme, alors franchement... Comprends qu'il n'est qu'une conséquence de ce qui est probablement une hypocondrie aigue doublée d'une dysmorphophobie.

Encore une fois je peux me tromper... mais envisage au moins cette piste.
Je suis d’accord avec ton avis, je crois principalement a une dysmorphophobie qui amène a l’hypocondrie. Je dit ça car j’ai passé par là après le début de la chute de mes cheveux, je cherchais les causes partout et j’en étais presque me convaincre que j’avais des pathologies. Tout les moindre petits défauts physiques je les voyais amplifiés, ma détresse psychique était grande. Mais a force de faire des test sanguins et consulté différents spécialistes J’ai fini par me raisonnée que malheureusement je n’avais rien de plus qu’une sensibilité génétique mais que j’étais en bonne santé. J’ai travaillé sur moi même et heureusement car je vois jusqu’à où j’aurais pu me rendre.

Will, pour avoir discuté avec toi je crois vraiment que tu devrais faire des démarche pour de l’aide psychologique, je crois que ça te ferais énormément de bien. C’est pas saint de vivre comme tu vis présentement et tu t’autodétruit petit à petit. Ta vie ne se résume que de haine, de rancunes, de peur et de désespoir, tu est rendu névrosé. Je te dis pas ça méchamment, ça me rend triste de voir ça.

Tu dis que tes problèmes érectiles sont dû a tes médicaments mais quand tu as arrêté les médocs tu a eu une copine et ça fonctionnais non? Je crois plutôt que tout tes problèmes découlent de ton état psychologique. La baisse de testostérone peux être une conséquence de ton état dépressif aussi, c’est prouvé que chez les homme la dépression abaisse les niveaux de testostérone. Je sais que c’est pas facile de se rendre a l’évidence mais je te souhaite sincèrement de pouvoir le faire. C’est pas une vie de vivre enfermé, isolé de tout le monde. Il faudrais que tu te change les idées, que tu vois des amis et que tu fasse du sport. Je sais que c’est pas facile mais quand tu auras commencé a le faire tu te sentira progressivement mieux. Pour les compléments alimentaires je te conseil les Omega-3 pour ton humeur, moi ça m’as beaucoup aider. pour ta testostérone, il y a le zinc qui est une super bon supplément pour ça en plus d’être bon pour la peau, ongle et cheveux.
willy31
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Kafeijq a écrit :
Imperium69 a écrit :Bon je vais être un peu dur, mais tu as surtout l'air d'être un pur hypocondriaque.
Pur hypocondriaque c'est fort quand même.
Pour avoir expérimenté les ES de fina même après l'arrêt, cela peut vraiment être terrifiant...
Cependant, tu as un gros soucis de priorité. La calvitie ne doit pas devenir ta priorité alors que tu es en dépression, que tu es en surpoids et que tu as des troubles sexuels.

Ok, je n'avais pas saisi que tes troubles sexuels étaient du aux antidépresseurs. Effectivement, c'est un cas particulier peu connu des non psychiatres et qui ne peut être résolu par les mêmes méthodes.
Pas le choix, il faut que tu contactes un spécialiste du sujet (mais à mon avis il ne sont pas nombreux... :cry: ).
Merci beaucoup Kafeijq! En effet, le PSSD est très mal connu par les généralistes et urologues, et il ne peut pas être soigné par les méthodes conventionnelles. À moins bien sûr que le PSSD entraîne des problèmes aussi des problèmes se soignant conventionnellement comme c'est mon cas avec le problème hormonal et peut-être vasculaire. Mais ça ne constitue pas le nœud du problème.
willy31
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Imperium69 a écrit :Bon je vais être un peu dur, mais tu as surtout l'air d'être un pur hypocondriaque. Et je ne dis pas ça à la légère. J'ai vécu avec une hypo pathologique, et tu présentes vraiment les mêmes caractéristiques (faciles à voir puisque tu écris des pavés), à savoir : description encyclopédique de tes "symptômes", médecin qui refuse de t'accompagner dans ton délire, prise et recherche abusive de traitements médicamenteux, poursuite de résultats dans l'urgence et à tout prix, examens multiples et attention exagérée sur des petites carences.
Remets toi en question mon vieux, mais vraiment.
Je me rappelle avoir déjà lu quelques topics complètement alarmistes de ta part, ou tu ne parlais plus que d'un duvet sur ton crâne, et d'une calvitie totale imminente, et maintenant tu as assez de cheveux pour "encadrer" ton visage...

Je ne minimise pas ton mal-être attention, mais il est à mon sens complètement psychologique... Atrophie du pénis ? Non mais combien tu as lu de topic sur des forums obscurs pour en arriver là ?

Va voir un psy, fais du sport, libère toi la tête. Ton couplet sur pourquoi tu ne fais pas de natation, sérieux c'est juste une excuse moisie (on s'en fout du physique tout le monde à l'air con avec un bonnet sur la tête et des lunettes). Libère toi l'esprit de tout ça parce que franchement, ton pénis a l'air d'être ta seule préoccupation mais déjà vu comment tu te décris, je te vois même pas avoir la confiance de gérer une femme, alors franchement... Comprends qu'il n'est qu'une conséquence de ce qui est probablement une hypocondrie aigue doublée d'une dysmorphophobie.

Encore une fois je peux me tromper... mais envisage au moins cette piste.
Oui, bien sûr, bien sûr... C'est quoi là? La conversation se corse? Tu n'es pas capable de réfuter mon argumentaire? (qui disons-le, est assez solide!... jusqu'à preuve du contraire, bien sûr). Ça c'est comme quelqu'un qui s'oppose au multiculturalisme et qui arrive avec des arguments bétons, chiffres à l'appui, est très nuancé, vulgarise bien, fait preuve de doigté, et que la personne en face de lui lui répond sèchement: «Raciste!».

Pour ton information, des tas de gens souffrent des mêmes problèmes que moi. Des milliers et des milliers. Et ce sont principalement des jeunes dans la vingtaine comme moi! Plusieurs m'ont dit qu'ils vivaient exactement la même situation que moi et qu'ils me comprenaient. Ce sont tous des hypocondriaques? Ou se pourrait-il que les médicaments que j'ai pris aient un réel effets sur le cerveau. Relis mon texte à ce sujet. Allez! Fait un effort svp. Je parle du niveau neurologique.

Pour ce qui est de l’atrophie du pénis, c'est une réduction de la taille du pénis, ce qui peut être le résultat du vieillissement, d'une maladie, d'utilisation de stéroïdes, de plusieurs médicament, d'une testostérone faible. Cet organe particulier naturellement augmente et diminue en taille, en fonction de facteurs situationnels comme l’excitation et le froid extrême. L’atrophie, cependant, représente un changement à long terme dans la taille ou la forme du pénis, ou des structures comme le prépuce. Plus les problèmes perdurent, plus la circulation sanguine devient pauvre. Le pénis dépend de la circulation du sang adéquat pour fortes érections. Donc, le pénis s'habitue à cette situation, et il s'atrophie.
willy31
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Vikini a écrit :Je suis d’accord avec ton avis, je crois principalement a une dysmorphophobie qui amène a l’hypocondrie. Je dit ça car j’ai passé par là après le début de la chute de mes cheveux, je cherchais les causes partout et j’en étais presque me convaincre que j’avais des pathologies. Tout les moindre petits défauts physiques je les voyais amplifiés, ma détresse psychique était grande. Mais a force de faire des test sanguins et consulté différents spécialistes J’ai fini par me raisonnée que malheureusement je n’avais rien de plus qu’une sensibilité génétique mais que j’étais en bonne santé. J’ai travaillé sur moi même et heureusement car je vois jusqu’à où j’aurais pu me rendre.

Will, pour avoir discuté avec toi je crois vraiment que tu devrais faire des démarche pour de l’aide psychologique, je crois que ça te ferais énormément de bien. C’est pas saint de vivre comme tu vis présentement et tu t’autodétruit petit à petit. Ta vie ne se résume que de haine, de rancunes, de peur et de désespoir, tu est rendu névrosé. Je te dis pas ça méchamment, ça me rend triste de voir ça.

Tu dis que tes problèmes érectiles sont dû a tes médicaments mais quand tu as arrêté les médocs tu a eu une copine et ça fonctionnais non? Je crois plutôt que tout tes problèmes découlent de ton état psychologique. La baisse de testostérone peux être une conséquence de ton état dépressif aussi, c’est prouvé que chez les homme la dépression abaisse les niveaux de testostérone. Je sais que c’est pas facile de se rendre a l’évidence mais je te souhaite sincèrement de pouvoir le faire. C’est pas une vie de vivre enfermé, isolé de tout le monde. Il faudrais que tu te change les idées, que tu vois des amis et que tu fasse du sport. Je sais que c’est pas facile mais quand tu auras commencé a le faire tu te sentira progressivement mieux. Pour les compléments alimentaires je te conseil les Omega-3 pour ton humeur, moi ça m’as beaucoup aider. pour ta testostérone, il y a le zinc qui est une super bon supplément pour ça en plus d’être bon pour la peau, ongle et cheveux.
Merci de retourner ta veste contre moi. J'ai toujours dit que les Québécois était un petit peuple de colonisés qui se mangeaient entre eux. Quand j'étais jeune, une guerre d'ambulancier a éclaté dans mon village. Un honnête ambulancier a été faussement accusé d'avoir sauvagement battu son collègue (il y avait des raisons politiques en arrière de ça). L'accusé en question voulait acheter le compagnie avec deux autres gars. La prétendu victime, pour accentuer la pression et pouvoir le mettre à l'écart, a fait venir une cinquantaine de gros bras issu du mouvement syndical. Tous du monde de l'extérieur. Ils ont assiégé le village durant toute l'été. Quelle a été la réaction des villageois face à leur confrère qui se faisait traîner dans la boue? Ont-ils cherché à connaître le fond de l'histoire? Non! Ils se sont empressé de se ranger derrière les étrangers. Pire! Ils les ont aider à détruire l'un des leur. Ça là, c'est made-in-Québec! Je connais ma tribu.

Sensibilité génétique? Personne ne sait exactement comment la perte de cheveux opère. Encore moins les raisons connexes qui l'induise (comme la prise de certains médicaments). Et la sensibilité génétique ne se traduit pas par un effluvium télogène. Mais tu sembles vouloir clore le dossier et te trouver une raison nowhere à ta perte de cheveux. Grand bien te fasse!

L'évidence (comme tu dis) c'est que les problèmes neurologiques existent, et qu'ils sont intrinsèquement liés à la sexualité. Pas pour rien que ceux qui souffrent de Parkinson ou de d'autres maladies neurologiques dégénératives se retrouvent avec des problèmes de dysfonctionnement sexuelles.

Et pour finir, mes problèmes empire toujours. Lorsque j'avais ma p'tite blonde, je travaillais, j'avais de très bonnes notes à l'université, je faisais des activités parascolaires, je sortais dans les bars avec mes amis, je jouais de la musique dans un band. Mais j'avais des problèmes de dysfonctionnement sexuelles. Moins pires qu'aujourd'hui, mais pires que ce que j'avais en 2013. Alors, qu'est-ce que la psychologie vient foutre là-dedans?
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Vikini
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Je ne me retourne pas contre toi will! Je t’ai spécifié qu’il n’y avait rien de méchant dans ce que je t’ai dit, c’est plutôt que je m’inquiète pour toi.

Désolé, je me suis peut-être mal exprimée, je ne crois pas que tout tes problèmes découlent de ton état psychologique mais du moin ton état psychologique n’aide pas du tout à ton rétablissement et peux même aggravé voir causé certains de tes symptômes. Je le dis par expérience, depuis que je suis mieux dans ma tête beaucoup de choses vont mieux dans mon corps. Je suis serieuse quand je dis que un psy pourrais grandement t’aider, surtout pour vivre mieux avec tout ça. Quand je te disais que j’espère que tu va te rendre a l’évidence, c’est l’évidence que tu t’autodétruit et que t’as besoin d’aide. Pense pas que tout le monde est contre toi, je comprend ta détresse et le plus dure c’est de sortir de cette engrenage.

Bah oui, j’ai trouvé une raison nowhere à ma perte de cheveux car c’est celle que l’ont donne a tout ceux chez qui ont ignore la cause de leur chute. Donc, oui je close le dossier car je perderai pas ma vie à essayé de comprendre quelques choses que des décennies de sciences n’ont pas encore réeussi à comprendre. Je me suis rendu à l’évidence qu’il n’y avait rien à faire et qu’il fallait que je continue de vivre malgré mon malheur. Un jour peut être la solution viendra mais en attendant j’aime mieux vivre heureuse, tu devrais faire la même chose.

Avec tout ce que tu dis je crois vraiment à la dysmorphophobie. Tu devrais vraiment consulté les pages internet sur la dysmorphophobie et je suis sur que tu t’y reconnaîtrais. Encore là je tien à te le répété il n’y as aucunes méchancetés dans tout ce que je te dit, tu le prend comme tu veux mais je fais ça pour toi. Ne commet pas l’irréparable t’as encore la possibilité de prendre contrôle de ta vie.
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Vikini
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La dysmorphophobie se caractérise par une obsession et des pensées excessives sur un "défaut imaginaire". Elle induit un stress chez la personne, un retrait social et d'autres troubles (alimentaires, obsessionnels, de l'hygiène, etc).

Définition de la dysmorphophobie.

Le dysmorphophobie se caractérise par des pensées excessives et une obsession d'un défaut imaginaire ou d'un petit défaut physique, dont la perception de la personne est complètement démesurée. La personne atteinte de dysmorphophobie a une mauvaise image d'elle-même. Ces manifestations obsessionnelles entraînent des attitudes négatives, voire néfastes pour la personne (pensée destructives, émotions incontrôlées, comportements disproportionnés, etc.). Ces dernières peuvent alors impacter la vie sociale, familiale et professionnelle du patient.

Les manifestations et les signes cliniques de la dysmorphophobie peuvent également se traduire par des troubles mentaux : de l'attention, de l'alimentation, de l'hygiène, et autres.

De façon générale, la partie du corps la plus souvent concernée par la dysmorphophobie est la tête et le visage. Mais toute partie corporelle peut faire l'objet d'une telle atteinte : les jambes, le ventre, la poitrine, etc.

Les causes de la dysmorphophobie.

La dysmorphophobie est un troubles obsessionnel du comportement, caractérisé par des obsessions et une exagération d'un défaut qui peut être imaginaire. Les causes d'un tel syndrome sont alors peu connus, voire inconnus.

Qui est touché par la dysmorphophobie ?

Tout individu peut se trouver confronter à un syndrome dysmorphophobique.
Toutefois, les adolescent sont davantage concernés, notamment au vu des changements importants de leur corps. La dysmorphophobie touche à la fois les hommes et les femmes.

Evolution et complications possibles de la dysmorphophobie.

Les conséquences de la dysmorphophobie peuvent être graves. En effet, dans les cas les plus extrêmes, le recours à la chirurgie esthétique voire aux procédures médicales, de façon excessive peut entraîner des conséquences importantes sur le corps de la personne.

L'éviction de certaines activités et le retrait social peuvent également être source de dégradation de l'état moral de la personne, pouvant mener au suicide dans les cas les plus graves.

Les symptômes de la dysmorphophobie.

La dysmorphophobie se traduit particulièrement par :

• des obsessions et une préoccupation très importante du défaut perçu excessivement
• passer son temps à se regarder dans le miroir et à scruter ce "défaut imaginaire" ou a contrario, l'éviction des miroirs et des surfaces brillantes qui peuvent refléter son image
• le fait de cacher la partie du corps qui fait défaut (port d'un chapeau, d'écharpe, de gants, etc.)
• la prise de rendez-vous excessifs chez des professionnels de santé
• le recours à la chirurgie esthétique
• le retrait social (éviction des lieux publics par exemple)
• des sentiments et des émotions dépressifs, anxieux, et autres.

Un autre liens interessant : https://dictionnairemedical.net/1902_Dy ... hobie.html
supertoto23
Messages : 17
Inscription : 20 mars 2016, 23:41

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Bikini a raison, il est indispensable que tu consultes un psychiatre.
D ailleurs je suis persuadé que ta famille te l'a fait remarquer.
En psycho reconnaître ses problèmes c est avoir parcouru la moitié du chemin vers la guérison.
Kafeijq
Messages : 77
Inscription : 13 janv. 2014, 23:24

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Attention à ne pas tomber dans le psychogène uniquement.
Oui, willy tu as un problème psy, notamment une forme anxiété et des envies suicidaires.
Mais même si cela favorise les troubles sexuels, rien ne dit que ça en est totalement la cause. Les troubles sexuels après les anti dépresseurs ne sont pas exceptionnels, et tu n'es pas le 1er à qui cela arrive.
Bref, encore une fois, consulte un psychiatre et un spécialiste de la question.


Sinon, pour le post finasteride syndrome, certains ont proposé un régime particulier pour essayer de guérir leur troubles sexuels (pareil que dans ton cas, on ne connait pas exactement la cause du PFS). Peut être que ça t'aidera. Ca varie suivant les gens, mais en gros :
- sport à fond
- bonne hygiène de vie : légumes, pas trop de calories, et jus de fruit/vitamines +++
- L-arginine, L-citrulline
- quelques aphrodisiaques
- arrêt porno qui pourrait désensibiliser des rapports plus softs de la réalité
- etc...

Ca vaut ce que ça vaut, je suis en train de tester le truc depuis quelques jours. Je doute franchement que ce régime soit curateur, mais il a le mérite d'être bon pour la santé et d'améliorer la situation sexuelle de n'importe qui.
jean-luc88
Messages : 774
Inscription : 08 mars 2018, 15:01

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Kafeijq a écrit :Attention à ne pas tomber dans le psychogène uniquement.
Oui, willy tu as un problème psy, notamment une forme anxiété et des envies suicidaires.
Mais même si cela favorise les troubles sexuels, rien ne dit que ça en est totalement la cause. Les troubles sexuels après les anti dépresseurs ne sont pas exceptionnels, et tu n'es pas le 1er à qui cela arrive.
Bref, encore une fois, consulte un psychiatre et un spécialiste de la question.


Sinon, pour le post finasteride syndrome, certains ont proposé un régime particulier pour essayer de guérir leur troubles sexuels (pareil que dans ton cas, on ne connait pas exactement la cause du PFS). Peut être que ça t'aidera. Ca varie suivant les gens, mais en gros :
- sport à fond
- bonne hygiène de vie : légumes, pas trop de calories, et jus de fruit/vitamines +++
- L-arginine, L-citrulline
- quelques aphrodisiaques
- arrêt porno qui pourrait désensibiliser des rapports plus softs de la réalité
- etc...

Ca vaut ce que ça vaut, je suis en train de tester le truc depuis quelques jours. Je doute franchement que ce régime soit curateur, mais il a le mérite d'être bon pour la santé et d'améliorer la situation sexuelle de n'importe qui.
C'est même efficace pour freiner la perte de cheveux.
willy31
Messages : 131
Inscription : 16 janv. 2016, 13:14
Localisation : Québec

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Pour revenir au sujet initial (qui est de savoir comment faire remonter ma testo naturellement en évitant d'accentuer ma perte de cheveux), j'ai débuté AlphaTest (MuscleTech/ProSeries) il y a 2 jours. C'est un paquet de 120 capsules qu'un ami m'a apporté. Il faut prendre 4 capsules par jours. J'en prends juste 2 à v'nir à date.

Ça peut aussi affecter les cheveux. Et c'est sûrement moins efficace qu'Androgel.

Donc, je suis toujours à la recherche de quelque chose d'encore mieux.

Revoici la liste de produit potentiels:

-Tongkat ali
-Tribulus Terrestris
-Pollen de pin
-L-arginine
-L-citruline
-Shilajit
-Racine de suma
-Autres?

J'ai vu que plusieurs de ces produits naturels pouvaient eux-aussi induire une alopécie. Est-ce à cause que certaines personne en prennent en trop grande quantité?

Donc, ce que j'aimerais, c'est que quelqu'un qui s'y connaît un tant soit peu là-dedans, me conseille à propos du dosage, vendeurs fiables, lequel de ces produit serait le plus approprié, combinaisons à éviter, etc.
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