FUE extraction pattern - BHR Clinic, Dr. Bisanga

[BHR Clinic]

FUE extraction pattern - BHR Clinic, Dr. Bisanga

Dans un article précédent, nous avons expliqué pourquoi le modèle d'extraction FUE est si important, croyez-moi, nous ne plaisantions pas ! Nous souhaitons poursuivre ici la démonstration, de manière plus visible, pour faire passer le message.

Si une image vaut mille mots, quel est la valeur d'une vidéo ? Ici, nous voyons très clairement ce qui se passe lorsque les principes fondamentaux de la FUE sont ignorés.

Comme nous l'avons vu dans d'autres articles, la zone receveuse, la ligne frontale, la croissance, l’aspect naturel peuvent être mauvais et donner un résultat très manufacturé, déplaisant et désolant avec, sur votre vie, un impact contraire à la raison même pour laquelle la greffe capillaire avait été décidée. Au lieu d'être plus confiant et mieux dans votre peau, vous devenez la cible des regards curieux à cause du manque de qualité et d'expertise qui sont maintenant devenus votre identité. Ceci n'est cependant pas seulement vrai pour la zone receveuse, mais aussi pour la zone donneuse. Tandis que la technique de la bandelette [FUT] a mauvaise presse à cause des cicatrices qu’elle laisse, on s’aperçoit qu’avec le changement d'angle des cheveux dans la zone donneuse, l’éventuelle miniaturisation et la nécessité de garder les cheveux plus longs pour la recouvrir, la FUE peut en fait avoir de pires conséquences entre de mauvaises mains. Les deux techniques sont bonnes, nous les pratiquons, et lorsqu'elles sont bien faites, elles changent la vie, mais lorsque la FUE est mal faite, comme dans cette vidéo, les cicatrices, la décimation et les dommages causés à la zone donneuse sont bien pires. Non seulement la zone receveuse peut avoir un aspect peu naturel, mais la zone donneuse n'est pas épargnée ! Maintenant, vous vous inquiétez de savoir qui est derrière vous autant que de savoir qui est devant vous.

Ici, la partie la plus riche de la zone donneuse, celle qui comporte les greffons les plus épais, la densité la plus élevée et le meilleur apport d’unités folliculaires et qui devrait être utilisée à bon escient et avec réflexion, a été, comme on dit, "volée". L'objectif a vraiment été d’entrer, saisir et prélever aussi vite que possible et de passer à la prochaine victime plutôt que de donner de la longévité au patient en gardant à l'esprit les pertes capillaires futures, en utilisant les greffons du bon calibre pour la bonne zone et en espaçant les extractions pour assurer une bonne cicatrisation ainsi qu’un impact moins visible de tout ce qui a été retiré. Quelques années plus tard, les médecins et la clinique ont évolué mais le problème est toujours là. Le patient a perdu encore plus de cheveux et les zones les plus riches qui auraient dû maintenant entrer en jeu, ont disparu. Le patient a été obligé de garder ses cheveux plus longs pour cacher les dégâts dans la zone donneuse, ce qui l’empêche de se raser de près puisque la calvitie a progressé, de plus les greffons dont il avait tant besoin dans la meilleure zone, sont stériles. La cicatrice est là, visible, et la majeure partie de la zone donneuse a déjà été exploitée. L'objectif de la clinique était axé sur l'argent, car le paiement se fait au greffon et on ne pense pas au lendemain.

Si l'histoire devait s’arrêter ici, ce serait une fin désolante. Alors, que peut-on faire ?

Eh bien, pour la zone donneuse, il faut maintenant faire appel à un chirurgien d'élite qui connaît la gestion d’une zone donneuse FUE et qui saura vraiment faire une sélection, et cette vidéo montre la nette différence de qualité entre le travail du Dr Bisanga et celui de la clinique précédente, qui, soit dit en passant, se présente comme spécialiste de la FUE. La cicatrice peut, dans une certaine mesure, être camouflée avec le SMP, un bon praticien est nécessaire car travailler dans le tissu cicatriciel comporte de nouveaux défis, mais pour les prélèvements, la zone est pratiquement épuisée. L'approche consiste donc maintenant à aller au-delà de la zone abîmée et à exploiter les zones vierges. Certes, elles sont moins denses, les cheveux y sont plus difficiles à prélever avec des angles plus aigus, mais pour un chirurgien FUE accompli, cela ne posera pas de problème. De plus, nous avons également ajouté des poils du corps, donc pour ce patient, la barbe et le torse se sont avérés compatibles (heureusement avec la couleur et l’épaisseur etc.) à l’utilisation et apporteront un peu d'espoir à un homme qui, à 31 ans, a déjà souffert de sa première expérience de greffe capillaire jusqu'à ce jour.

La rétrospective, c'est bien, la prévoyance, c'est mieux ! Comme nous ne pouvons pas voyager dans le temps et annuler les mauvaises décisions, nous ne pouvons que travailler dans le présent pour améliorer son avenir. Oui, comme l'a dit le Dr Bisanga, il faut faire des recherche pour faire les choses bien dès la première fois, et vous pouvez voir la sincérité dans sa voix et sur son visage, c'est un cri du cœur, parce qu’en tant que clinique, nous voyons aujourd’hui de plus en plus de mauvais travail venir dans notre clinique et nous voyons aussi l'impact physique, psychique et financier sur le patient.

Message à retenir, apprenez des erreurs des autres, faites de bonnes recherches, posez des questions, rencontrez d'anciens patients et soyez en confiance avec le médecin et la clinique à qui vous choisissez de confier votre tête. L'extraction FUE n'est pas un hashtag, c'est une réalité dont vous devez être conscient et c'est la raison pour laquelle nous continuerons à diffuser de l’information sur ces sujets importants.

Prenez soin de vous et merci de votre lecture !